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amour, liberté, beauté & vérité new 28 décembre 2009 http://asphodele.gayanea.net posté dans mots d'existence | aucun commentaire » le diable au corps 6 février 2009 mon amour s’est transformé en flamme, et cette flamme consume peu à peu ce qui est terrestre en moi. [novalis] lorsqu’un amour est notre vie, quelle différence y a-t-il entre vivre ensemble ou mourir ensemble ? [raymond radiguet] (photo: irina ionesco) le diable au corps, c’est mortel, ça me prend aux tripes, dans les veines, le sang qui bat à tout rompre, le corps qui trémousse, en manque de sa drogue, c’est l’effusion d’un sentiment. vouloir le crier, le chanter, le sourire, ce je t’aime si précieux. c’est comme un diable justement qui se débat au fond du coeur, du corps et qui force à dire les choses instinctivement, de manière animal. c’est une force irrésistible qui n’est plus l’ordre du terrestre, on plonge d’autres sphères, on aime, on se débat, on le crie. je t’aime ma moitié posté dans indécences | 3 commentaires » pensées perdues 4 février 2009 des pensées perdues, des songes envolés, je ne sais même pas si quelqu’un lira cet article, ça fait trop longtemps que je n’écris plus ici. tant de choses ont passés, on ne peut jamais oublié le passé, c’est comme une marque gravée en moi, surtout si il s’est passé un événement fort. pour ma part, il s’est passé tellement de choses, en un an, une seule année de ma vie où tout a changé. de tout ça, j’en ai acquis de l’expérience, mas surtout des joies et des peines qui m’ont fortement marqués. j’ai perdu contact avec des gens, que je considérais comme amis, ça, les peines d’amitié, comme celle que j’ai vécu, avec une des celles que j’apellais soeur me marquera toujours. je ne pense pas que l’on peut oublier les personnes qu’on rencontre dans une vie, chacune apporte et je leur apporte, c’est un échange. l’homme ne peut pas rester grand solitaire, seul dans sa tête, c’est aussi le contact avec les autres qui le fait murir. j’ai rencontré d’autres personnes, même si je pense que les vrais amitiés sont vraiment rares, c’est la perte d’une pépite précieuse. j’ai appris des nouvelles qui m’ont fait mal, comme une giffle en plein coeur, la mort rôde… j’ai changé d’environnement à force de déménagement, d’habitudes, de lieu, de villes, de mode de vie, tout. c’est comme couper le cordon ombilicale une seconde fois, ça émeut toujours, mais on a les ailes libres. toutefois le gout de la liberté peut être ravageur, faite attention à icare… enfin, surtout, j’ai pu être au côté de ma moitié, on habite pas très loin, on s’entend merveilleusement, c’est un second souffle, une renaissance dans un coeur aussi enflammé. j’ai pu évolué encore plus, je suis plus lucide tellement plus que ça me fait mal d’avoir les yeux grands ouverts sur ce monde, cette déchetterie. en hyper sensibilité, je me redécouvre aussi intérieurement. en travail, je me cerne plus, je sais ce que je veux malgrè l’angoisse qui peut me prendre aux tripes, je crée, j’artériose (de arte : art) comme j’ai envie de dire. mais parfois, je veux juste dire, que même si on peut avoir l’impression de mener plusieurs vies, par la perte et les retrouvailles de personnes, le changement de lieu de vie, d’autres ambitions, on n’oublie jamais ce qu’on a vécu. en réalité c’est ce qui nous forge. on peut avoir le coeur meurtri, ça ne nous empêchera pas d’être toujours aussi passionnée, malgré les peines qui restent là. las, je ne sais pas où iront ces mots, perdus, envolés… (photo irina ionesco) posté dans mots d'existence | 6 commentaires » il est tard… 3 septembre 2008 il est tard et tu me manques. j’ai envie de le crier, de le hurler de toutes mes tripes, mon amour pour toi. mon essentiel, mon sensuel c’est toi, doudou. tu es l’épaule qui seul peut me soutenir, comme moi je suis la tienne, je suis tienne… when i’m living here finally, let’s stay here for a while. nous avons besoin de l’un l’autre et de nous retrouver. nous sommes heureux quand on est ensemble, heureux de se partager l’un l’autre pour former notre monde, notre nous. je t’aime. tels deux anges enlacés deux amants retrouvés leur regard de braise les enveloppe tout entier all is full of love posté dans confidences | 2 commentaires » tu es comme ça 26 juillet 2008 « tu es comme ça fier et libre tu peux partir là-bas mais rien ne t’éloigne jamais de ceux que tu aimes, de ce que tu es tu es comme ça coeur fidèle ton regard se perd parfois mais rien ne te fait oublier ni ceux que tu aimes, ni ce que tu es alors tu veux redonner aux fleurs, au ciel, aux gens les couleurs qu’ils n’ont plus ramener la douceur un peu, à ceux qu’ils l’ont perdue alors tu veux des musiques tendres des instants d’or pour apaiser les tiens quelques notes magiques, un mot un rien pour qu’ils soient bien tu es comme ça fier et libre tu peux partir là-bas mais rien ne t’éloigne jamais de ceux que tu aimes, de ce que tu es alors tu veux caresser leurs coeurs frôler leurs âmes aux frissons de ta voix et leurs garder toujours ouverts ta maison et tes bras alors tu veux faire cadeaux du temps, de l’éternel à ceux qui sont partis et garder ton sourire d’enfant pour eux a l’infini tu es comme ça passagère tu peux rêver d’ailleurs mais tous les chemins te ramènent comme ça fier et libre tu peux partir là-bas mais rien ne t’éloigne jamais de ceux que tu aimes,de ce que tu es tu reviens toujours tu es comme ça coeur fidèle ton regard se perd parfois mais rien ne te fait oublier ni ceux que tu aimes, ni ce que tu es tu es comme ça tu es comme ça tu es fier et libre mais tu n’oublies jamais tu es comme moi » jacques veneruso, tu es comme ça posté dans mots d'existence | aucun commentaire » réflexion ii 26 juillet 2008 « connais toi toi-même » (socrate) « la persévérance est favorable » « tomber sept fois, se relever huit » « traitez les gens comme s’ils étaient ce qu’ils doivent être et vous les aiderez à devenir ce qu’ils sont capables d’être. » (goethe) « un homme est bien fort quand il s’avoue sa faiblesse. » (honoré de balzac, la peau de chagrin) « le premier ennemi à combattre est à l’intérieur de soi. souvent, c’est le seul. » « nous vivons comme nous savons. si nous concevons l’univers et nous-même comme des mécaniques, nous mènerons une vie mécanique. au contraire, si nous pensons que nous faisons partie d’un univers aux potentialités sans limites, et que notre esprit est une matrice de réalité, alors notre vie deviendra un potentiel créatif. » (marylin ferguson, les enfants du verseau) « s’accepter tel qu’on est signifie évaluer tant nos qualités que nos défauts. » (sandra bierig) « la victoire sur soi est la plus grande des victoires. » (platon) « le sentiment de nos forces les augmente. » (vauvenargues) posté dans mots d'existence | 2 commentaires » le parfum 21 juillet 2008 à mon amour … le parfum lecteur, as-tu quelque fois respiré avec ivresse et lente gourmandise ce grain d’encens qui remplit une église, ou d’un sachet le musc invétéré ? charme profond, magique, dont nous grise dans le présent passé restauré ! ainsi l’amant sur un corps adoré du souvenir cueille la fleur exquise. de ses cheveux élastiques et lourds, vivant sachet, encensoir de l’alcôve, une senteur montait, sauvage et fauve, et des habits, mousseline ou velours, tout imprégnés de sa jeunesse pure, se dégageait un parfum de fourrure. charles baudelaire (les fleurs du mal) posté dans confidences | 2 commentaires » wood dream 19 juillet 2008 posté dans life and art | 2 commentaires » méditation iii 13 juillet 2008 « qu’une femme fût trace de l’être, rien qu’avec son corps. que ce corps m’existât, je ne sais pas comment le dire autrement, dans l’appel et la réponse, dans l’entre-deux où nos immatériels matériels s’étaient rencontrés et où ils ne cessaient de se croiser à nouveau, de se frôler, de s’emmêler. qu’une parole fût chair, même silencieuse. » posté dans confidences | 1 commentaire » l’hymne à la lune 4 juillet 2008 bel astre ombragé depuis la nuit des temps, tu es une princesse étoilée d